La recrudescence du trafic des migrants et la traite des personnes prennent des propositions inquiétante dans le monde. En Afrique particulièrement, ce fléau a le vent en poupe. Pour les autorités Camerounaises en symbiose avec l’agence onusienne des migrants, il faut tout oser pour trouver des solutions adaptées pour circonscrire la saignée. C’est dans l’objectif d’atteindre ce but, que les parties prenantes se sont réunies ce 16 décembre autour d’un atelier de réflexion.
La quête d’un meilleur être; la poursuite des études et la volonté de découvrir de nouveaux lieux sont entre autres les raisons qui poussent à la migration. Si l’Afrique de l’Ouest se distingue aujourd’hui comme un creuset de ce fléau, c’est dû à la bonne structuration et au génie électronique et de séduction miroité par des gangs.
Face à ces inquiétudes, le Cameroun entend se soustraire afin de faire de son territoire un berceau d’accueil des migrants. Pour la célébration ce 16 décembre de la Journée Internationale des Migrants (JIM), la salle des actes du ministère des relations extérieures, au-delà des administrations ; a accueilli étudiants ; organisations de la société et universitaires en vue de trouver de nouvelles stratégies efficaces de lutte.
Autour de ta table, il a été question de clarifier la notion de traite de personnes et trafic illicite des migrants. Aussi, ils se sont attelés non pas seulement à faire l’état des lieux au Cameroun mais entre autres, souligner à grand traits les défis et pistes de solutions. Si pour Alisia Karobamba étudiante Congolaise au Cameroun, le regret est la fuite à grande vitesse sur la toile des informations sur les migrants. Cet atelier vise à juste titre à définir et où à redéfinir les mécanismes de protection. Toutes choses qui a emmené l’étudiant Tangang (probable migrant) à saluer la tenue de cette importante rencontre.
En reconnaissant que beaucoup a déjà été fait, au côté de madame Ndoumba Ngono Aurélie, Directrice du département des Camerounais à l’étranger, des étrangers au Cameroun, des migrants et question de réfugiés, Abdel Rahmane DIOP Chef de mission OIM, réitérant la disponibilité de l’organisation qu’il représente, a salué les efforts consentis tout en plaidant pour un renforcement drastique des mesures de protection et de sanctions contre les hors la loi, auteurs des trafics et exploitations des migrants.
Gervais Fredy M
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