Made in Cameroun : À la découverte des vertus Ezeuzeg et de l’Ouzang
Gervais Freddy Memana
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Les deux produits novateurs ont ceux de sa promotrice et productrice Clémentine Essindi, qui a travers cela met également en avant la culture des peuples « Bétis ».
L’idée de la mise e place de ces produits est partir du désir de vouloir satisfaire la diaspora qui une fois au Cameroun affectionne certaines chaires, mais malheureusement ont des difficultés à se procurer cela à l’hexagone. Ouzang entendez chaires précieuses d’Afrique ont été conçu a causes des valeurs nutritionnelles de ces différentes chaires précieuses séchées, être autre les chenilles, les escargots, les crabes, les cambasses, du bar, et du brochet. Il existe aussi des chaires pour des dignitaires soient Bétis ou encore d’autres tribus à l’instar du varan, du crocodile et de la vipère, « la particularité c’est que ces chaires sont séchées a des températures ambiantes qui permettent de conserver leurs valeurs nutritionnelles ; concentre le gout et la saveur. Ces chaires peuvent se conserver sur une période de six mois sans conservateur ou encore matière ajoutée. Nous avons exprès, conçu en ajoutant des épices et des assaisonnements qui sied à chaque type de chaires avec indice de cuisson pour permettre même a celui qui n’a jamais cuisiner du crabe ou des chenilles de faire de la cuisson et de s’e sortir avec son guide. », Explique Clémentine Essindi
S’agissant de la marque Ezeuzek en mot béti qui veut dire sucre en français, sont des chips de fruits qui invite à la grignote diététique. « Ezeuzek a pensé dans son package à faire du ail caramélisé au miel de gout garnis d’ananas. Ceux qui connaissent les propriétés du ail et du miel a gent le matin, est u excellent résistant pour la régulation cardiaque, et nous avons pensé à garnir avec de l’ananas séché pour faciliter la consommation. Vous avez également le cocktail de chips de fruit à base de différents fruits qui permettent d’avoir des vitamines. », Poursuit la productrice.
S’agissant de la commercialisation de ces produits, les prix oscillent entre 6500 pour les chenilles à 15 000 FCFA pour les 300, 400 et 500 g. « pour alléger le cout du consommateur, nous nous approvisionnons au village parce que nous privilégions le bio. Le voyageur lui il parle en euro, il n’a pas de problème, mais le consommateur local camerounais qui veut aussi bien s’alimenter doit pouvoir avec sa bourse économique bien mangé. Nos ambitions c’est de vulgariser le produit et conquérir le marché camerounais et la diaspora pour faire connaitre notre richesse culinaire. », Conclut Clémentine Essindi qui annonce que ces différents produis sont disponible dans les supermarchés de la place. En rappel, cette jeune femme entrepreneure excelle aussi dans la décoration intérieure et extérieure.
MD
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Journaliste professionnel, et directeur de publication de impactechosnews.com
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