Le 21 juin 2023, Joseph LE, ministre de la fonction publique et de la réforme administrative était face à la presse. Le but poursuivi par cet instant média dédié à l’ouverture de la saison des concours; était de donner le nombre de places disponibles, les domaines concernés et les mesures prises pour disqualifier la corruption; ses corollaires et garantir la méritocratie. C’était autour des secrétaires généraux Maïna Anatole du Minfopra et de Félix Zogo de la communication.
C’est en tout 2685 places à pourvoir pour autant de personnes qui frapperont aux portes de la fonction publique Camerounaise en 2023. Une situation qui constitue pour certains une porte à l’arnaque, à l’escroquerie et à la corruption.
Pour tenter de minimiser et palier à ces cas dans l’impossibilité de les bannir, le ministre appelle à plus de vigilance, de prudence et d’éveil afin d’éviter des regrets et lamentations.
De manière concrète, Joseph LE pour sensibiliser et d’avantage protéger les milliers de candidats au concours directs et recrutements à la fonction publique a mis sur pied plusieurs canaux de communications directe permettant de dénoncer en toute sécurité sans craintes aucune les gestes inciviques et anticitoyens éventuels.
Il s’agit d’un numéro vert gratuit ouvert à tous les usagers le « 15 22 », de deux adresses mails à savoir: « Josephle@minfopra.gov.cm », de « Clcmingopra@gmail.com » et de deux numéros ouverts 24/24, « 699 64 58 68 / 222 23 02 85. À toutes cette batterie de mesures s’ajoute la disponibilité du comité anti corruption du ministère disponible et aux aguets des toutes dénonciations.
Outre ces mesures effectives et discrètes, Joseph Le, l’ingénieur attitré de la digitalisation et adepte de la dématérialisation administrative, n’a pas manqué de rappeler que les dossiers peuvent se déposer et se faire suivre en lignes afin de réduire au maximum le contact physique.
En clair, au-delà des aménagements faits aux personnes handicapées, le ministre a rappelé les filières ouvertes qui vont de l’agriculture, à la géologie, de l’élevage aux pêches, de l’informatique, aux greffiers, des ingénieurs du génie civil aux mines non sans oublier le secrétariat entre autres. Revenant sur la préoccupation du diecteur de publication Ngaba sur l’équilibre régional, le ministre a réitéré le bien fondé de cette politique qui fait ses preuves et permet de lutter contre la formation des castes dans l’administration.
Bien que déjà prêt à recevoir les premiers dossiers, le ministre Joseph LE, rassure quant à l’engagement de son département ministériel à participer et à poursuivre ses efforts dans les besoins du budget de l’État par les frais de concours dont 40% sont reversés au trésor public contre 60% alloués à l’organisation desdits examens.
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