Enseignement supérieur-Formation BTS/HND: Jacque FAME NDONGO apaise les cœurs..

Le Ministre de l’Enseignement Supérieur Jacques Fame Ndongo a désamorcé le 5 juin dernier une bombe sociale dont tous les éléments sociaux semblaient déjà être réunis entre le Minsanté, L’Ordre Nationale des Professionnels de la Santé et les promoteurs des Instituts Privés d’enseignants supérieur au sujet des produits issus de ces Centres.

La réunion de concertation tenue au Minesup ce 5 juin 2024, réunissait entre autres les représentants de L’Ordre Nationale des Professionnels de la Sante, les promoteurs des IPES, les représentants du Ministère de la Santé Publique, des associations du corps de la médecine le tout chapeauté par le Ministre d’État; avait pour objectif principal, trouver une sortie satisfaisante et consensuelle à la crise qui fissurait déjà à grande échelle l’ordre social entre les promoteurs des Institutions Professionnels d’Enseignement Supérieur, L’Ordre des médecins du Cameroun et par ailleurs le Minsante.

Sur les faits, les promoteurs des IPES reprochent aux parties su mentionnées à l’exception du Minesup de ne pas admettre en leur sein les produits issus de leurs structures au motif d’une inadéquation dans le parcours et nul doute d’un niveau questionnable.

Face à ces récriminations non moins importantes qui au-delà semblent jeter le discrédit sur la qualité des enseignements dans ces institutions supérieurs officiellement agréées par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, met en péril la quiétude sociale via des frustrations, les rejets, et le déni des acquis.

D’après l’ANIPES et selon ce qui ressort de sa conférence de presse tenue quelques jours avant, le personnel de l’administration publique en charge de la sante leur collent des identités de structures peu fiables et à la limite plus financières que formatrices.

Au regard de ce melting poot suffisamment enraciner saupoudré de procès d’intentions, afin d’apaiser les esprits et d’éloigner les étudiants et promoteurs des IPES des hypothèses de «marche pacifique» et où de grèves, Jacques Fame Ndongo a usé de son expérience, de son expertise non sans oublier les leçons du passées pour donner une chance à plus de 800 étudiants arrivés en fin de formation et à ceux en cours de formation de pouvoir être non pas seulement reconnus par L’Ordre des professionnels de la santé mais également d’avoir accès facile dans les composantes sanitaires publiques.

Pour ainsi dire, deux axes majeurs sont ressortis de cette rencontre déterminante. La mise sur pied des mesures transitoires et par ailleurs de l’harmonie du cursus de l’étudiant dans les IPES.
Ainsi, sur les trois prochaines années, les parties ont opté pour l’application des mesures transitoires qui consisteront à laisser achever le parcours de ceux déjà en formation, l’organisation harmonisée d’un concours unique (Minesup_Minsante) l’accès à ces formations.
Pour les étudiants ayant achevé leur cycle de formation, un concours d’intégration à L’Ordre et de leur acceptation sera dans les prochains jours organisé par les deux tutelles sous l’assistance de L’Ordre.

Au demeurant, le compromis trouvé ce 5 juin par la tutelle des IPES Jacques Fame Ndongo, au côté de l’administration en charge du recrutement et celle dédiée à la reconnaissance est au-delà de tout une garantie à l’ordre public, une issues
fiable d’assurer le cryptique de l’assurance qualité en milieu universitaire Cameroun.

Gervais Fredy M