Pour des accusations liées à la drogue, 04 élèves inspecteurs et gardiens de la paix se verront exclure du processus de formation des éléments de la police.
Tobokbe Bon Fils, Anyouzoa Anyouzoa Claude, Zambo Aboui Christian Loïc et Mvana Meyanga Jean Claude ont jugé utile et plus intéressant la manipulation des stupéfiants que de se mettre au service de la République qui les ouvre les portes.
En effet, ils sont accusés de trafic , détention et consommation de stupéfiants et d’escalade. Un ensemble de faits, d’attitudes et de comportements qui risquent mettre en péril l’image de marque voulu par la police Républicaine du Cameroun. C’est sans doute, pour cette raison et bien plus d’éviter l’infiltration de la gangrène qui pourrait nuire à la déontologie et à l’éthique que les manipulateurs des stupéfiants ont été écartés.
C’est une décision issue du conseil de discipline, qui a scellé définitivement le sort des quatre acolytes, les mettant hors du circuit de formation de cette prestigieuse école dont beaucoup en demandent en rêve.
A regarder de plus près, il s’agit par cet acte fort qui ne saurait être isolé, d’interpeller la conscience collective et surtout celle de ceux qui s’engagent sous les couleurs à servir l’État à prêcher par le bon exemple pour mieux orienter les citoyens et sécuriser les biens et des personnes.
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